~ EARLY MORNING RAIN 2014 ~
| Sujet: (F) HAYLEY WILLIAMS - absolument négociable. Lun 11 Fév - 17:08 | |
| Kelly-Ann (au choix) Langlois Bonjour tout le monde, je m'appelle kelly-ann (2ème prénom au choix) langlois mais on m'appelle plus souvent kelly. Je suis née le au choix mais en 1985 à san francisco aux états-unis et j'ai pas mal grandi depuis, puisque j'ai maintenant 27 ans. Ma vie amoureuse est sacrément au choix et je suis célibataire, veuve, mariée, en couple (au choix) en effet, j'aime beaucoup les garçons. Si vous regardez d'un peu plus près, vous verrez que je ressemble beaucoup à hayley williams. caractère Δ elle est très intelligente et était une tuerie à l'école. Elle écrasait tout le monde et en plus, de loin. Elle cartonnait, avait des excellentes notes partout, n'avait aucune faiblesse. Elle a donc travaillé dur pour atteindre son rêve, devenir une avocate (métier négociable donc études également) réputée. Elle a fait des années de droit ainsi que deux années de stage puis finit par l'être à ses 25 ans. Au niveau professionnel, elle a toujours réussi.
Δ lors de son adolescence, au collège puis au lycée, elle était une véritable geek souvent scotchée devant son écran d'ordinateur, elle a un peu déprimé car elle avait la sensation que sa famille se fichait d'elle, notamment ses frères. Cela n'a pas engendré d'échec scolaire, puisque toujours très intelligente, elle n'avait pas besoin de réviser, écouter en cours lui suffisait pour cartonner lors des contrôles. Elle était plutôt solitaire et n'avait pas de véritables amis sur qui elle pouvait compter.
Δ elle se mordit toujours la lèvre inférieure aussi bien quand elle est stressée que quand elle cache quelque chose. C'est son signe qui lui est propre.
Δ on lui a tellement reproché d'être coincée, timide et trop axée sur les cours qu'elle s'est finalement ouverte aux autres à la sortie du lycée. Elle est devenue cette personne avec un grain de folie, presque toujours en train de sortir en boîte sans pour autant raté son année scolaire, c'est certainement ça le plus incroyable. Par la suite, on la considérait comme quelqu'un de très joyeux et drôle. Seulement, une fois passée le stade des 25 ans, elle s'est dit que la fête était finalement finie pour elle, qu'il était temps de grandir. Alors elle est désormais calme, réfléchie et ne sort plus en discothèque.
Δ elle séduit sans pour autant draguer ou y mettre du sien, c'est uniquement sa beauté naturelle qui charme les hommes - et qui avait séduit à l'époque son frère Grayson.
Δ elle déteste la solitude, puisqu'une fois enfermée dedans, elle déprime et ne sait pas quoi faire. Alors elle demande souvent à sortir, propose n'importe quel motif pour fuir son appartement. Toutes les raisons sont bonnes. Parfois on peut penser qu'elle est plutôt envahissante car elle peut débarquer à n'importe quelle heure dans votre habitation, seulement elle réclame indirectement de l'affection.
Δ elle est jalouse d'Aaron et fera tout pour que leur histoire entre son frère et lui soit terminée.
Δ elle n'a pas le permis donc n'hésite pas à demander aux gens de l'accompagner ou la conduire quelque part, c'est une raison supplémentaire pour ne pas être seule.
Δ je la vois bien aimer un pays sans pour autant y être déjà allée, ça serait donc un sacré rêve. Elle affiche partout des images de ce pays, en parle etc.
Δ elle est collante, quelque peu jalouse et possessive, envahissante, involontairement séductrice et déteste la solitude
Δ elle est intelligente, calme, réfléchie, folle dans le bon sens et généreuse.
| | histoire Δ elle est née à san francisco puis la famille a déménagé à Nice à ses 13 ans.
Δ elle a pu prendre son indépendance et habiter dans une autre ville que Nice, toutefois elle ne doit pas être proche de Paris.
Δ leurs parents vont bientôt divorcer seulement grayson n'en est pas au courant. kelly-ann peut l'être.(lorsque vous allez vous inscrire, il s'agira en réalité de son arrivée à Leeds. Elle n'y a pour le moment, encore jamais mis les pieds. C'est alors à partir de ce moment-là qu'ils reprendront leur relation normalement, Grayson lui sera toujours autant dévoué puisque la verra comme son idéal féminin. La raison de son installation en Angleterre est au choix, seulement je suppose qu'elle voudrait se rapprocher de ses frères. Effectivement, Yannie habite dans le même bâtiment que Grayson.)
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grayson k. langlois entre frère et sœur Δ Lorsque les parents nous ont annoncé que notre frère Yannie souffrait d'une insuffisance cardiaque, c'est toi qui a calmé mes pleurs et m'a pris dans tes bras. Lorsque notre grand-père pour qui j'éprouvais un grand sentiment d'intérêt en vue de son côté musicien, est décédé, c'est toi qui a calmé mes pleurs et m'a pris dans tes bras. Tu as cette place importante dans ma vie, pourtant je ne pourrais pas expliquer clairement le lien qui nous unie. Nous sommes effectivement des frères et sœurs, toutefois j'ai la sensation que tu es bien plus que ça. Dès mon adolescence, tu m'as fait fantasmer, je t'observais par la porte quand tu te douchais. Trouvant ça malsain, j'ai fini par arrêter afin d'entretenir une relation solide et pas perverse avec toi. Tu n'avais jusqu'à mes 17 ans, pas eu la place que tu méritais, nous n'avions jamais vraiment parlé et j'étais plus occupé avec notre frère qu'à tenter de tisser un bon lien. J'ai rapidement compris que tu étais supérieure à moi, tu étais brillante et intelligente, tu réussissais les cours à merveille tandis que moi j'étais une merde et aie arrêté après le bac. Aussi, tu te la jouais séductrice avec les garçons, ils te regardaient tous sans pour autant que tu le demandais. Tu ne faisais rien de spécial, tu étais juste sublime et tu attirais tous les regards. Ainsi, je faisais un complexe d'infériorité par rapport à toi, voulais être à ta disposition dans le seul but d'obtenir la meilleure place dans ton cœur et dans ta vie. En effet, j'étais jaloux de tous ceux qui se tenaient dans ton entourage et je souhaitais être au-dessus d'eux. Tu es exactement ce que je pense de la femme parfaite, en réalité tu es mon idéal féminin, je te voue un culte et te complimente à longueur de journée, encore aujourd'hui. Une fois que j'avais eu une grande place, que je te rendais énormément de services, t'étais dévoué, t'emmenant aux endroits que tu désirais ou te servant de compagnie pour faire les magasins, j'eus le droit à un sacré privilège. Désormais, tu m’emmenais à tes soirées étudiantes, c'est par ailleurs toi qui m'a initié aux soirées, aux discothèques et à l'alcool. Seulement la jalousie m'envahit davantage lorsque je pris conscience que tu étais entourée plus que je ne l'imaginais d'hommes plus virils et charmeurs les uns que les autres. J'avais un goût de souffrance en bouche, un cœur en bouillie et une rage véritable enfouie dans ma poitrine. J'étais jaloux de tous ceux qui te contemplaient, étaient trop proches de toi, alors je tentais du mieux que je le pouvais, de les faire fuir. J'avais la sensation que tu m'appartenais, j'étais indéniablement possessif envers toi. Tu l'as vite saisi puisque tu ne m'emmenais plus en discothèque, tu ne me parlais même plus car tu étais bien trop énervée. Seulement, il a suffit de quelques mois pour que notre relation se montre des plus positives ; je n'étais plus dépendant de toi, ni même tellement jaloux que j'en chassais les concurrents, mais nous avions trouvé cette relation solide depuis tout ce temps. En réalité, nous sommes partis Yannie et moi à Paris lorsque tu n'avais que 23 ans. La distance nous a très certainement aidé puisque je t'ai oubliée de mon côté pendant que tu te calmais à Nice. Seulement un an passa sans avoir de nouvelles et il fallait avouer que c'était pesant pour nous deux. Un simple appel téléphonique et notre relation était repartie, après une discussion qui dura près de 5h. Nous avions beaucoup de choses à nous dire. Depuis cet appel, nous nous appelons au moins une fois toutes les deux semaines et tu es venue jusqu'à Paris en train seulement deux fois, tout simplement car tu n'as pas de temps à nous accorder, prise de passion pour ton métier et ayant peu de vacances. Désormais, je suis encore plus éloigné de toi et je dois avouer que c'est difficile à vivre de ne pas t'avoir vue depuis maintenant un an et demi. Notre relation fusionnel à distance est difficile à supporter. J'espère te revoir bientôt, sœurette. Δ extraits de ma fiche : - Spoiler:
- Grayson K. Langlois a écrit:
- 1. Mon père cria chacun de nos noms en bas des escaliers. Je me tenais dans ma chambre partagée toujours avec Yannie – ça n’avait pas changé, ils m’avaient proposé d’obtenir ma propre chambre mais j’avais refusé, désirant rester avec lui. Nous descendîmes aussi rapidement que nous le puissions, nous nous installâmes sur les canapés autour de la petite table de salon comme ma mère nous le demanda. Nous attendîmes quelques minutes ma sœur qui était restée en haut devant son ordinateur très certainement – depuis qu’elle l’avait reçu pour noël, elle y passait des heures dessus et ne le quittait plus que pour les repas et avec de la difficulté.
2. Je voyais souvent mon frère se plaindre d’avoir mal au cœur, surtout plus il grandissait. Ma mère ne cessait de lui donner des cachets à avaler à chaque repas, pourtant il ne boudait pas, restait cet enfant sage qui écoutait ses parents sans rechigner. C’est surtout que tout comme moi, il ne savait rien de ce qu’il avait réellement. A ses six ans, mes parents ont dû m’emmener chez notre voisine, maison dans laquelle je suis resté toute la journée. J’avais dix ans à cette époque et je ne pouvais m’empêcher d’être inquiet de l’absence de mes parents mais évidemment surtout de Yannie. Kelly-Ann, désormais âgée de 13 ans, connaissait la vérité, cela se lisait clairement sur son comportement : elle se mordillait fréquemment la lèvre inférieure comme si elle était coupable de quelque chose ; c’était son signe à elle qui nous indiquait de suite qu’elle cachait quelque chose. Elle ne pouvait plus mentir dès l’instant où elle pratiquait ce geste. Je me tenais dans les bras de la voisine qui me caressait la joue, tentant de me calmer avec ses soit disant belles paroles rassurantes. Je ne l’écoutais pas, je ne remarquais plus que le geste significatif de ma sœur ; chose qui me poussa à me déplacer jusqu’à elle.
« - Tu sais, lui dis-je très assuré de mon hypothèse. - De quoi ? demanda t-elle en se mordillant de plus belle les lèvres, au point de se faire saigner. - Arrête. - Arrêter quoi ? - De te mordre. Je veux juste savoir ce qu’il se passe. - Yannie est… répondit-elle, sans savoir si elle avait le droit de lui dire la suite, raison pour laquelle très certainement elle jeta un regard à notre voisine, lui posant la question à travers. - Il est quoi ? - A l’hôpital. »
3. Je n’avais jamais eu de vraie relation avec ma sœur Kelly-Ann, j’ai toujours été très proche de mon frère Yannie et il faut avouer que nous délaissions l’ainée. Nous n’avions pas les mêmes activités et notre sexe ainsi qu’âge faisaient que nous ne pouvions pas réellement nous entendre ; c’était toutefois difficile. Nous nous ne détestions pas, elle était juste ma sœur et rien de plus, nous nous parlions par ailleurs que très peu et il était rare de nous voir s’amuser ensemble. Elle était souvent indifférente à mes peurs et pleurs, pourtant il lui arrivait de me prendre dans ses bras lorsqu’il s’agissait d’un gros problème, comme par exemple lorsque mon frère était parti à l’hôpital pour la première fois. Elle me soutenait uniquement dans les gros moments et j’ai vite compris pourquoi. Ma sœur est ce genre de personnes qui ne se plaint jamais, qui aime la vie et qui en profite ; pour elle, les problèmes devraient être inexistants et les gens devraient cesser de pleurer pour un rien. La mort et la maladie la touchent, ce sont certainement les deux seuls problèmes pour lesquels elle ne reste pas de marbre. Selon elle, il fallait vivre le moment présent, profiter de la vie et laisser les problèmes sentimentaux derrière nous ; il fallait les oublier et s’arrêter de pleurer pour cela alors que d’autres ont de mauvaises conditions de vie et beaucoup plus de raisons de verser des larmes. Quand je pleurnichais à cause d’une fille qui ne m’aimait pas, elle soupirait en me disant que j’étais pathétique et que je ne devrais pas me plaindre et gâcher ma vie pour une si petite raison. Mais avant tout, que je ne devais pas m’abaisser à ce point pour cette gamine car elle ne méritait pas mes pleurs. Elle paraissait dure pourtant elle avait raison et je le compris bien rapidement, d’ailleurs ses paroles avaient toujours le don de me calmer et de retirer mes larmes d’un coup sec. Il me semble même que j’aie adopté sa vision de penser, devenant petit à petit une personne moins sensible, pleurant juste pour la maladie de mon frère – toutefois derrière son dos, je devais être fort pour lui.
Cette relation a évolué pendant mon adolescence, quand je suis entré en quatrième à mes 14 ans. Je me suis surpris d’apprécier le corps de ma sœur, de la trouver vraiment sublime alors que je n’y avais encore jamais fait attention. Elle avait désormais 17 ans et ressemblait à un ange. Elle était blonde aux cheveux longs d’une taille fine et délicieuse. Tous les garçons pouvaient clairement baver devant elle, tant son visage était splendide, son corps était de rêve et son style vestimentaire à en couper le souffle. Elle pouvait enfiler une robe légèrement courte accompagnée de tallons hauts, tout comme se vêtir de collants troués avec un short et des Dr Martens. Elle était belle et en plus, tout lui allait. A cet âge, les garçons devenaient plutôt pervers, pensant au sexe et aux filles. Puisque je n’y connaissais pas encore grand chose à ces dernières, il m’arrivait d’observer ma sœur sous la douche par le verrou de la porte. Nue, elle était d’autant plus sublime. Grâce à elle, je découvris alors petit à petit le corps féminin, sans qu’elle l’apprenne. Elle ne l’avait d’ailleurs jamais su, puis comprenant un an après que c’était malsain, j’ai fini par arrêter. Je n’avais pas le droit de fantasmer sur ma sœur, alors je me suis dit qu’elle serait uniquement mon idéal féminin, et plus rien d’autre. Elle était parfaite, un point c’est tout. Quand nous grandissions, nous nous rapprochions suffisamment pour que je puisse lui dire que j’adorais ses tenues, qu’elle était vraiment magnifique. Parfois même, je devenais légèrement jaloux envers les garçons qui rôdaient trop proches d’elle, je faisais attention à ses fréquentations et quand elle m’emmenait à des soirées – car c’est elle qui m’a initié à cela – je gardais toujours un œil sur elle. Je l’accompagnais limite uniquement pour la surveiller et pas vraiment pour m’amuser. Elle le remarqua bien assez tôt et me demanda d’arrêter ce petit jeu, me faisait parfaitement comprendre qu’elle ne m’appartenait pas et qu’elle pouvait faire ce qu’elle désirait de sa vie et avec qui elle voulait, car de toute façon, je n’avais pas mon mot à dire. Seulement, je ne pouvais m’empêcher d’éloigner de n’importe quelle façon les séducteurs qui je voyais, s’intéressaient à elle. Toutefois, quand elle l’apprit, elle s’énerva, me fit la tête durant quelques jours et ne m’emmena plus jamais à ses soirées. Dès ce moment, voyant que j’allais perdre ma propre sœur, je décidais de ne plus me mêler de sa vie. J’allais l’écouter car de toute manière, c’était elle l’aînée mais aussi je me sentais inférieur. Elle était tellement sublime, sexy et séduisante, tellement demandée et entourée par les autres garçons, alors que je n’étais rien à côté ! J’avais de la chance d’avoir une sœur autant populaire et je ne voulais pas la perdre. Elle était tellement meilleure et supérieure qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de moi, je le ferai et l’écouterai. Et elle l’avait bien compris. J’étais alors à sa disposition : dès qu’elle me demandait de l’accompagner quelque part, de jouer et chanter à ses soirées, de l’emmener faire du shopping avec ma voiture, je le faisais gentiment. Je n’avais pas la sensation qu’elle profitait de moi, j’avais plutôt l’impression de l’aider en lui rendant quelques services. Malgré cela, notre relation devait prendre une pause puisque la décision avec mon frère de quitter Nice pour Paris était prise.
n. aaron parker (pov aaron) ∆ Je ne suis pas le genre de personne à détester les gens. Au contraire, naïf et bon samaritain de nature, j’ai tendance à avoir foi en l’être humain, peu importe les circonstances. Malgré tout. La preuve – je n’arrive même pas à te détester, à te haïr. Alors que tu sembles tout faire pour ruiner mon couple avec Grayson, je ne te déteste même pas. Tu m’énerves au plus haut point, m’agaces énormément certes, mais je n’éprouve aucune rancœur contre toi. Et même si j’ai parfois envie de te gifler, de te hurler dessus pour que tu comprennes que Langlois est aussi à moi et que tu ne peux rien faire contre ça, je n’ai rien contre toi. Après tout, il est ton frère et tu l’aimes – ça se voit. Votre attachement l’un à l’autre est évident et je n’ai jamais eu l’intention de m’immiscer entre vous. La famille est quelque chose d’important à mes yeux et je ne comptais pas te voler ton frère. Si seulement il pouvait voir que tu es jalouse comme un pou et que tu t’amuses à nous séparer, ça serait déjà bien. Surtout que Grayson a assez d’amour à donner pour nous combler tous les deux. Et même si je déteste son comportement lorsqu’il est avec toi, je ne peux pas changer votre passé, votre histoire. Vos sentiments. Il faudrait seulement que tu acceptes le fait que moi aussi je peux le rendre heureux. Moi aussi j’ai ce pouvoir-là depuis plus d’un an maintenant. Lui et moi avons partagé beaucoup plus de choses que tu ne peux l’imaginer. Nous avons notre histoire, vous avez la vôtre. Si je respecte ça, pourquoi ne le pourrais-tu pas ? Je sais que tu es intelligente, que tu peux comprendre tout ça. Alors arrête deux secondes de jouer ta garce et laisse-nous vivre notre vie commune. De plus, tu devrais te rendre compte que je suis quelqu’un d’obstiné, de têtu, et que je ne lâche pas facilement le morceau. Grayson m’en a fait voir de toutes les couleurs et je suis toujours là. Alors ce n’est pas parce que tu t’évertues à l’éloigner de moi que ça va changer quoique ce soit. On s’aime, un point c’est tout. Les blondes ont beau avoir certains atouts non négligeables, je possède quelque chose qu’elles n’auront probablement jamais – son amour. Et puis merde, je pense valoir mieux que n’importe quelle blondasse siliconée alors tu devrais t’estimer heureuse que ton frère soit tombé sur une personne dans mon genre. Je n’ai jamais voulu que son bien. Je l’ai toujours poussé à aller vers le meilleur. Je pense mériter ma place à ses côtés alors back off and screw you. Voilà, c’est dit.
Dernière édition par Grayson K. Langlois le Jeu 7 Mar - 15:44, édité 6 fois |
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| Sujet: Re: (F) HAYLEY WILLIAMS - absolument négociable. Lun 11 Fév - 17:24 | |
| Scénario terminé et libre ! Personnage et avatar Δ Tout est négociable, notamment l'avatar. J'ai mis Hayley Williams, mais je pensais également à Juno Temple, Erin Heatherton, Mila Kunis, Evan Rachel Wood, Charlavail Effron, Hanna Beth, Elsa Holk, Elizabeth Olsen et Ashley Tisdale. Je suis très ouverte alors si d'autres idées vous traversent l'esprit, n'ayez pas peur de me les faire partager, je ne mange pas, promis. Exigences Δ Je ne demande qu'une réponse par semaine voire toutes les deux semaines. Je suis tout à fait consciente que la vie derrière l'ordinateur peut être prenante. Toutefois une certaine qualité d’écriture est attendue. Je n'attends pas à ce que vous soyez parfait, je fais des fautes également. Néanmoins, si c'est pour apercevoir dix fautes à chaque phrase, ce n'est pas pour moi. Aussi, au niveau de la quantité, je ne suis pas exigeante. J'écris tout de même beaucoup, mais je m'adapte. Si vous avez des questions, n'hésitez surtout pas. Par exemple si vous voulez en savoir davantage sur leur lien ou des informations supplémentaires, je serai ravie d'y répondre. Avant tout, je te remercie d'avance si tu prends mon scénario, il est important pour l'évolution de mon personnage. |
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