~ EARLY MORNING RAIN 2014 ~
| Sujet: (F) ALEXANDRA DADDARIO - NÉGOCIABLE Jeu 6 Juin - 10:38 | |
| Meredith p² nom Bonjour tout le monde, je m'appelle Meredith p² nom, mais on m'appelle plus souvent Medi, Mere, Med'.... Je suis né(e) le xx/xx/1986 dans la magnifique ville de ville au choix, et j'ai pas mal grandi depuis, puisque j'ai maintenant 27 ans. Ma vie amoureuse est sacrément ADJECTIF et je suis fiancée en effet, j'aime beaucoup les garçons Je fais partie des groupe au choix et j'en suis fier(e) ! Si vous regardez d'un peu plus près, vous verrez que je ressemble beaucoup à Alexandra Daddario. caractère Douce Intelligente Spontanée Boudeuse Naïve Amusante Prévoyante Tête en l'air Téméraire Rêveuse ... | | histoire Meredith a grandit avec des parents qui avaient de bons revenus financiers ; à ce niveau là elle n'a jamais manqué de rien. Elle est passionnée de littérature, et travaille en tant que traductrice (autre langue au choix) Elle a vécu à Londres depuis au moins ses 17 ans. Ses parents (aux USA) lui payaient un appartement voisin à celui de Gavin. Pour le reste, respectez le lien |
Gavin L. Bowers - Extrait de ma fiche:
J'avais 24 ans lorsque j'ai rencontré Meredith. Un professeur de littérature du lycée avait fait appel à moi pour présenter à ses élèves des aspects du journalisme. Ravi de pouvoir transmettre ma passion, j'y étais allé. Je pensais être nostalgique de l'époque lycéenne en mettant les pieds dans un de ces établissements, mais la première chose que je vis, ce fut cette brunette qui ramassait ses livres par-terre. A coté d'elle, un groupe de filles réellement vulgaires riaient à gorge déployées de voir une fille à genoux. Mais elle arborait un air totalement neutre, comme si cela lui était égal. Ou alors, elle était habituée... A peine fut-elle relevée que je m'avançais naturellement vers elle pour demander mon chemin. Timide, frôlant les murs, elle m'amena jusqu'à ladite salle, allant s'asseoir près de la fenêtre pendant que les autres élèves arrivaient. Ce que je racontais semblait lui passer au dessus de la tête Les yeux fixés dehors, elle gribouillait machinalement sur sa feuille quelques lignes. Durant plus d'une heure et demi, le cours ne semblait en rien l'avoir intéressée. C'est sans doute pour cela qu'à la fin du cours, je cédais à la curiosité, allant voir ce qu'elle écrivait de beau. D'abord réticente, elle n'avait rien voulu me montrer. Mais il faut croire que ce n'était pas son genre de faire une esclandre pour un bout de papier alors elle me le tendit, détournant le regard. Mes yeux parcoururent les lignes en quelques secondes. Des réflexions profondes sur la société partiellement. « Y a de l'idée » commentais-je simplement en lui rendant sa feuille. « Ce n'est pas fait pour avoir du sens aux yeux des gens » Elle sortit de la classe, ignorant mon sourire amusé.
Je la croisais partout. Dans le starbuck du coin, dans la rue, au supermarché, chez le médecin... Absolument partout. A chaque fois, elle levait son regard azur vers moi et me souriait avant de disparaître. Elle m'intriguait à un point que je n'aurais pas cru possible. Mais dès que je la croisais, j'étais incapable d'aligner trois mots. Après tout nous étions juste de simples inconnus qui avions eu l'occasion d'échanger quelques banalités. Jusqu'au jour où on toqua chez moi. En ouvrant je tombais nez à nez avec Meredith qui pour le coup paraissait aussi surprise que moi. « Bonjour euh... désolée de vous déranger, mais j'ai un petit problème de plomberie chez moi...Vous ne vous y connaîtriez pas un peu ? » Il avait suffit de ça pour qu'on se retrouve chez elle, moi la tête sous l'évier à déboucher ce truc en discutant avec elle. Elle vivait seule dans un studio et se révélait être ma voisine... Le monde était décidément minuscule. A ce que j'avais compris, elle vivait seule ici, ses parents vivants aux États-Unis. Ils étaient présents qu'avec un compte en banque bien garni. Le schéma typique des parents riches aux as. Le sujet ne semblait d'ailleurs pas plaire à la jeune femme, mais elle fut sortie d'embarras par toutes les saletés de l'évier qui préférèrent se renverser sur moi plutôt que dans le seau prévu à cet usage. Dans un fou rire monumental, nous avions fini par nous quitter, moi littéralement crade.
« C'est trop maladroit Mere'... Tu as toutes les idées, mais tu ne les organises pas assez. Ça fait toute la différence » je lui tendis son devoir de littérature. Nous avions pris l'habitude de passer pas mal de temps ensemble, et malgré moi, je supervisais ses études. La littérature lui plaisait énormément, et m'y connaissant dans le domaine, je pointais du doigt les détails qui n'allaient pas. Elle plissa les yeux en relisant quelques lignes, puis finalement posa les feuilles sur la table basse. « Tant pis pour cette fois alors » marmonna-t-elle en rabattant ses jambes sous ses fesses, calant sa tête contre mon épaule. Machinalement, je caressais ses cheveux. « Pas envie de travailler, paresseuse ? » « Pourquoi tu t'évertues à me faire travailler ? Il y a plus distrayant. » « Envie de jouer au scrabble peut-être ? » « T'es con ! » je ne pu retenir un rire lorsqu'elle me cogna l'épaule du poing. « Ben quoi ? J'ai pas remarqué que tu sortais énormément et que tu avais une vie sentimentale hyper remplie... » « Tu insinues que je suis une sainte Nitouche ? » « Moi ? Nooon... » Soudainement plus grave, elle se redressa, s'asseyant à califourchon sur mes cuisses. Elle me jeta un regard entendu et posa ses lèvres contre les miennes. Inutile de dire à quoi nous avions employé notre après-midi.
« Tu vas pas me dire que tu es jalouse hein ? » appuyé contre le mur du salon, je regardais Meredith qui s'activait dans l'appartement, rangeant et nettoyant frénétiquement. Elle était ainsi depuis que nous étions rentrés, et ne répondait pas quand je lui parlais -ou alors pour me lancer une réplique cinglante en pleine face-. Cela faisait bien trois ans que nous habitions l'un à coté de l’autre et qu'on passait des heures et des heures à discuter. Je la connaissais par cœur. Je crois que je pouvais me qualifier de meilleur ami pour elle. Je la connaissais par cœur, et le contraire était vrai aussi. Certes, nous avions une fois couché ensemble, mais après plusieurs jours de gêne on avait décidé de faire comme si de rien n'était. Mais étrangement, de son coté, elle commençait à devenir tendue la Meredith. Nous étions allé boire un verre et pendant qu'elle s'était éclipsée, une jolie fille était venue me draguer. Et depuis, voilà que madame tirait la tronche. « Allez arrête de tirer cette tête, tu es plus jolie quand tu souris... » « Il ne fallait pas te sentir obligé de me suivre, tu pouvais rester avec l'autre pouf. Tu lui as sans doute brisé son petit cœur siliconé ! » Ignorant son air bougon je passais derrière elle, collant mon torse contre son dos, mes bras entourant sa taille. « C'est quoi le problème ? Tu aurais aimé être à sa place peut-être ? » Elle me repoussa, sans aucune surprise. Laissant faire mes pulsions, je l'attrapais par le bras pour l'attirer à moi, la prendre dans mes bras et l'embrasser longuement. Étrangement ce coup-ci, elle se laissa faire. Nous nous étions déjà embrassés, nous avions déjà couché ensemble, mais là ça prenait un sens.
« Meredith... Fais de moi le plus heureux des hommes. Et accepte de devenir ma femme. » C'était il y a deux ans. Après cinq années de vie commune je m'étais décidé à franchir le pas. Après tout, qu'est-ce que j'avais à y perdre ? Nous nous aimions, notre couple tenait la route, nous avions une vie stable. J'étais devenu rédacteur en chef d'un grand journal. J'avais même accepté la demande de ma douce, à savoir déménager de Londres pour partir à Leeds. Ville pas tellement désagréable, sauf quand on est habitué aux grandes villes. Mais si c'était pour elle, je la suivais. Ma demande en elle-même n'avait rien de très romantique. Un dimanche matin, dans la chaleur et l'intimité de la couette. J'avais traîne la bague plusieurs jours en cherchant les meilleurs moments où m'y prendre. Et j'avais choisi ce moment, tellement spontanément que ça en restait un magnifique moment.
« Putain c'est quoi ce bordel ? » Dans la panique je rabattais la couette sur nos corps nus et très occupés avant cette interruption. Zac se tenait sur le seuil de ma chambre, me dévisageant avec effarement tandis que la jolie blonde à coté de moi ne semblait pas comprendre réellement le problème. Faut dire, je lui avais affirmé que j'étais célibataire. « Zac, c'est pas ce que tu crois ! » « Oh mais je crois rien, je constate ! Je constate que tu es en train d'allègrement tromper ta fiancée, et ça a pas l'air de te déranger en plus ! » Qu'est-ce que je pouvais dire ? Il avait pas tort. J'aurais jamais du demander cette fille en mariage. Je l'aimais énormément, mais ça n'avait plus rien d'amoureux, de passionnel. Juste d'affectif. Dans un sens, je ne supporterais pas de la voir avec un autre homme, mais réellement... on n'avait plus rien à faire ensemble. Il fallait se rendre à l'évidence, je ne l'aimais plus autrement qu'amicalement. Et je balisais à l'idée de la quitter, de la blesser. Elle m'acculait à force de me parler d'enfin se marier pour de bon, d'avoir des enfants, une grande maison, un chien... Elle voulait tout ça, et j'aurais aimé aussi. Mais pas avec elle. Alors j'allais voir ailleurs pour tenter de réprimer cette frustration grandissante.
Résumé ; Meredith et Gavin se sont rencontrés il y a dix ans à Londres, lors d'un cours de littérature où Gavin était en tant qu'intervenant. A force de se croiser encore et encore, le hasard aidant, ils ont commencé à se fréquenter. Il y a 7 ans, ils se mettaient en couple. Et il y a 2 ans, Gavin la demandait en mariage. A les voir, c'est le couple parfait. Ils s'aiment, ils savent où ils vont. C'est jamais l'un sans l'autre. Du moins, ça, c'était jusque récemment. Au fil des mois, Gavin a fini par réaliser qu'il n'aimait sa fiancée que par pure affection. Il ne se voit pas passer le restant de ses jours à ses cotés. Sauf qu'il est pas bien téméraire. Et la dernière chose dont il a envie, c'est blesser Meredith d'une quelconque façon. Alors il va voir ailleurs, il la trompe tout en tentant de la combler. Sauf que les envies grandissantes de Meredith pour le mariage, le vrai avec une centaine d'invités et une robe meringue, ainsi qu'une petite famille avec une flopée de gosses, ça effraie littéralement Gavin. Pourtant, il va bientôt devoir y faire face, car il ne se doute pas un instant de ce qui va lui tomber dessus : sa future paternité. Car oui, la belle est enceinte! C-O Kalahan Bowers Kalahan est la petite soeur de Gavin. Fraîchement débarquée d'Australie, enceinte aussi, elle habite chez Meredith et son frère en ce moment. Elle s'entend énormément avec sa future belle-soeur. Etant atteinte du syndrome d'Asperger, c'est un exploit. Mais justement, elle considère la brune comme sa grande soeur. Maintenant qu'elle sait que son frère la trompe souvent, elle est partagée. Est-ce qu'elle devrait le dénoncer ou non ? Liam C. Green Meredith et Liam se sont "rencontrés" il y a 7 ans, dans les rues de New-York. Un adolescent de tout juste 13 ans était en train de se faire tabasser, Liam... Ne pouvant pas laisser cela, Mere' s'était approchée pour faire fuir ses agresseurs. Elle ne s'attendait juste pas à ce qu'en remerciement, le jeune homme la repousse et disparaisse tout aussitôt. Quand ils vont se revoir dans les rues de Leeds, bien que ce soit des années après, les réactions de Liam n'ont toujours pas changé. Il la fuit dès qu'il a le malheur de la croiser. La réalité, c'est qu'avec ses yeux bleus et ses longs cheveux bruns, elle lui rappelle sa mère, presque battue à mort par son mari et ce plus d'une fois. Un jour peut-etre, elle arrivera à l'approcher sans le voir fuir. |
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| Sujet: Re: (F) ALEXANDRA DADDARIO - NÉGOCIABLE Ven 7 Juin - 11:50 | |
| Hey toi! J'ai quelque chose à te dire! Merci à toi qui regarde mon scénario Tout d'abord, je tiens à dire que ce personnage est trèèèès important pour Gavin, après tout c'est sa fiancée (a) Je vais revenir sur quelques petits points essentiels L' avatar déjà. Il est négociable, malgré le fait que j'aime énormément Daddario Le nom est presque négociable. Il faut juste garder Meredith quelque part L' histoire est assez libre dans l'ensemble, tant que le lien est respecté. Mais s'il y a besoin de changer quelque chose, vous faites à votre bon vouloir Le lien est détaillé comme je l'ai pu. Du coté de Gavin, il aime Meredith comme il aimerait sa meilleure amie, mais il ne s'en rend compte que maintenant, et n'ose pas faire marche arrière. Alors il fait avec et s'autorise l'adultère. Du coté de la miss, comme je l'ai mis, elle est enceinte. Ce que Gavin ne sait pas encore. A vous de voir si elle se doute de quelque chose concernant les infidélités de son futur mari Je ne sais pas comment ça finira. Je suppose que l'on verra ça au fil des rps Je crois avoir tout dis J'AI HATE DE TE VOIR PARMI NOUUS |
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Joyce A. Hemingway administratrice ☽ à votre service ICI DEPUIS LE : 13/11/2012 MESSAGES : 2730 PIÈCES : 3073
METIER/ETUDES : Etudiante en droit, et travaille en tant que secrétaire STATUT CIVIL : Fiancée à Deeks, mais va souvent voir ailleurs. Mère d'un petit garçon. HUMEUR : Un jour oui, un jour non... ~ EARLY MORNING RAIN 2014 ~
| Sujet: Re: (F) ALEXANDRA DADDARIO - NÉGOCIABLE Mar 13 Aoû - 9:12 | |
| Scénario remis en jeu |
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| Sujet: Re: (F) ALEXANDRA DADDARIO - NÉGOCIABLE Jeu 15 Aoû - 14:55 | |
| MA FIANCÉÉÉÉÉÉÉE Haaan j'suis content là (a) Merci mille fois de tenter mon scénario Si tu as des questions, harcèle moi - Spoiler:
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Joyce A. Hemingway administratrice ☽ à votre service ICI DEPUIS LE : 13/11/2012 MESSAGES : 2730 PIÈCES : 3073
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| Sujet: Re: (F) ALEXANDRA DADDARIO - NÉGOCIABLE Mer 4 Sep - 15:04 | |
| Scénario remis en jeu |
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